- C'EST AUSSI MON ENFANT.... Un Reportage de Nathalie KAAS.. Sur Planete Justice |
C'EST AUSSI MON ENFANT...
Documentaire / 52 / France Réalisateur(s) : Nathalie Kaas.
Rediffusions : Le 12 avril à 16 h 05
Après une séparation, certains parents n'hésitent pas à manipuler leur enfant pour l'amener à rejeter son autre parent. Outre-Atlantique on appelle ce phénomène "l'aliénation parentale". Ce film s'appuie sur plusieurs récits d'enfants et de parents qui ont eu à souffrir de cette séparation radicale.
Quand les parents d'Alexandra divorcent, c'est Dagmar, sa mère, une Allemande, qui obtient la garde. Mais son père refuse de se plier à cette décision et emmène la petite et la confie à ses propres parents. Il la manipule, lui affirme que sa mère ne veut pas la voir. Quand elle apprend la vérité, c'est tout son monde qui s'écroule. Elle raconte avec émotion ce traumatisme et ces années perdues.
Gérard est père de deux enfants auxquels leur mère lui refuse tout droit de visite. Après des mois sans contact, il retrouve des enfants qui le rejettent. Pour eux, il est devenu l'ennemi. Trente plaintes ; quatorze audiences ; trois condamnations de la mère ; Gérard a même fait une grève de la faim. S'il refuse d'abandonner, il n'y croit guère. En France, peu de juges sont en effet sensibilisés aux manipulations dont certains enfants de parents divorcés sont victimes.
Remarques de Stop Violence France qui est aux cotés de Gérard depuis le début de son action :
Depuis le REPORTAGE REALISE A BOURGOIN, la mère des enfants de Gérard CRUZILLE est partie dans le Sud Ouest, en mettant encore de la distance entre le père et son fils, pour l’instant en toute impunité.
Certains Juges Aux Affaires Familiales pénalisent maintenant l’éloignement volontaire des enfants, en appliquant la LOI, comme cela s’est fait à Compiègne en Juillet 2008 pour Fabrice G.
A Bourgoin, le Juge d’Application des Peines avait révoqué partiellement la peine de prison avec sursis de la mère. Cette bonne décision laissait une ouverture aux autres Juges en charge de ce dossier pour obliger la mère à coopérer pour un rapprochement entre les enfants et leur père, sans succès.
Gérard a accepté de voir ses enfants en lieu médiatisé à Lyon à la demande du Juge aux Affaires Familiales de BOURGOIN, mais aucun travail sérieux en ce sens n'est effectué par ces services sociaux de la Presqu'ile.
Bien au contraire, Florence poursuit ses fausses accusations d'attouchements alors qu'elle a reconnu au Tribunal Correctionnel de Grenoble avoir fait de fausses déclarations pour que le père ne voit pas ses enfants. L'enquête de Gendarmerie l'avait démontré, les enfants avaient indiqué que c'était leur mère qui leur avait dit de dire cela.
Des enquêtes psychiatriques démontrent des troubles comportementaux de celle-ci, qui dans son esprit a remplacé le père de ses enfants par son propre père.
Gérard CRUZILLE n'a pas pour l'instant souhaité poursuivre en justice la mère de ses enfants pour ses fausses déclarations, en voulant préserver un possible rétablissement d'un lien avec ses enfants.
Cela pose pour nous un grave problème. Ces fausses déclarations pour priver l'autre parent de ses enfants, tant par les mères dans le cadre d'attouchements que par les pères pour maltraitance des enfants par leurs mères, et après l'affaire d'OUTREAU, nous constatons que les dossiers d'enfants réellement victimes sont classés sans suite pour infraction insuffisamment caractérisée, et qu'il faut alors se battre pour que justice soit faite.
Il serait temps que la justice sanctionne sévèrement ces fausses accusations lorsqu'elles sont démontrées comme dans ce cas précis, sans attendre que le père (ou la mère selon le cas) soit dans l'obligation de poursuivre la mère, ce qui renforce la position de cette dernière qui dit à ses enfants " tu vois ce que ton père nous fait"...
Coupable de fausse déclarations, cette mère se "positionne en public comme victime" et en profite pour aliéner davantage ses enfants. Tout cela au détriment d'enfants réellement victimes partout en France, et des autres mères (ou pères) qui ont du mal à se faire entendre dans les cas avérés...
Le nouveau J.E à pris dès son arrivé à Bourgoin la décision de se dessaisir du dossier au profit du J.E de Narbonne, alors qu’il aurait pu le conserver cf. à un arrêt de la Cour de Cassation en ce sens.
Quant au JAF, une prochaine audience indiquera si sa position a évoluée, ou si au contraire, rien n’est fait pour respecter les Lois.
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant n’est pas respectée, alors que l’Etat Français à le devoir de les faire appliquer, ce qui n’a pas été fait, tant par le Président de la République, que par notre Ministre de la Justice qui ont été saisi de ce dossier, et nous renvoi vers les magistrats pour faire appliquer les décisions de justice.
Dès lors, il ne nous reste comme d’habitude à saisir la Cour Européenne pour rappeler à la France ses devoirs et obligations. La France est le second pays le plus condamné par la Cour Européenne, comme le soulignait QUE CHOISIR.
m à j 17 09 2014
par JB et PS
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