Affaire FORTIN |
AFFAIRE FORTIN
QUI EST RESPONSABLE DE LA FUITE DU PERE AVEC SES ENFANTS ?
Quid de la justice à l’origine ? Cela serait intéressant pour le débat.
Y a-t-il eu Aliénation Parentale comme certains l’indiquent ?
Stop Violence : La place d’un père qui « s’est battu par amour pour ses enfants » n’est pas en prison… tout comme celui d’une mère ne l’est pas non plus dans les mêmes circonstances. La peine de deux ans dont 22 mois avec sursis, soit 2 mois "ferme" sanctionne donc un délit que ce dernier n’aurait pas du commettre.
Peut-on dire qu'il a eu le courage de commettre ce délit ? Dans tous les cas il n'est pas le premier et ne sera sans doute pas le dernier tant que notre justice ne répondra pas comme il se doit, à la place de l'enfant lors de séparation parentales conflictuelles, à savoir que les enfants ont le droit de voir leurs deux parents, leurs grands parents, leurs deux familles et le droit d'avoir leurs deux cultures.
Nous avions connu il y a 7 ans dans la Haute Loire une soustraction d'enfant, le père avait demandé son enfant pour permettre à la mère et à son nouveau compagnon de se rendrent tranquillement au restaurant... Trois heures après il n'était pas de retour... Le lendemain, il prévenait la mère qu'il était en Belgique. 7 ans après, elle n'avait toujours pas revu son enfant. Cela n'a pas été médiatisé, mais ces cas ne sont pas aussi rares qu'on essaie de nous le faire croire.
La France est tenue de respecter et faire respecter la CIDE ainsi que la Convention des Droits de l'Homme. La France a d'ailleurs été condamnée à maintes reprises par la Cour Européenne pour ne pas l'avoir fait.
Sans avoir une connaissance parfaite de ce dossier, n’étant pas partie à la procédure, il semblerait que la mère ait été la première à séparer les enfants de leur père.
Extrait du figaro : N'est-ce pas votre père qui, alors que vous étiez âgés de 7 et 8 ans, a pris la responsabilité de vous entraîner dans la clandestinité ?
Absolument pas. Tout d'abord, je voudrais dire que dans cette affaire, c'est notre mère qui a violé la loi la première. En 1998, elle a d'ailleurs été condamnée à six mois de prison avec sursis pour «non-représentation d'enfants» après avoir refusé d'appliquer le droit de garde accordé à notre père.
Pour Stop Violence : Quelle a été la réponse de la justice à ce moment là pour non représentation d’enfant ?
Quelle est la réponse de la justice aujourd’hui dans des cas semblables, devant un père ou une mère qui ne présente pas ses enfants ?
Après de nombreuses plaintes il y a des condamnations… Mais après une vingtaine de plaintes en 3 ans, de plusieurs condamnations à des peines de prison, comme c’est le cas à BOURGOIN, même si le juge d’application des peines à révoqué le sursis, la mère n’est toujours pas en prison, et le père ne voit toujours pas ses enfants.
Pascal CLEMENT l’avait souligné dans une réponse en 2006, indiquant qu'il y avait eu 950 condamnations, dont une cinquantaine d'incarcération…, Rachida DATI a par la suite, indiqué que ces chiffres étaient en augmentation.
Les enfants FORTIN indiquent : "De plus, c'est à notre demande que celui-ci nous a emmenés avec lui à la fin des vacances de Noël 1998, parce que nous vivions très mal le mode de vie que notre mère avait choisi pour nous. S'il a fait ce choix, c'était clairement pour préserver notre bonheur, notre équilibre et l'éducation que le couple avait commencé à nous prodiguer avant de se séparer".
Pour Stop Violence : sur ce point particulier, il est fort possible que ces enfants, à leur âge, aient vu en leur père celui qui était le plus beau, le plus fort, le meilleur, un héros… C'est ce qu'aiment les enfants en général, il n'y a pas besoin de travailleur social ou de psy pour savoir ce qui découle du bon sens...
Le père a fait voir le meilleur coté de la vie à ceux-ci, en prenant des risques. C'est une manipulation des enfants pour leur faire accepter la séparation avec leur mère.
Cela n’indique pas pour autant qu’il y ait eu une aliénation parentale qui entraîne le dénigrement, le rejet de la mère, mais simplement le fait d’exécuter le désir de ses enfants de partir à l’aventure avec leur père, comme les enfants l’auraient fait avec leurs deux parents ensembles.
Si l’on croit la version des ados, dont l’un est majeur : « Pendant ces onze ans, il ne s'est pas passé un seul jour sans qu'on ait eu la possibilité de recontacter notre mère. Notre père nous a obligés à lui écrire souvent, elle ne nous a jamais répondu. On a toujours vécu dans ce milieu certes marginal mais heureux et dans une famille soudée.
Dans ces conditions, il n’y a aucune ALIENATION PARENTALE …
Il y a évidement un délit de soustraction d’enfants, lequel n’aurait peut-être pas eu lieu si la justice n’était pas indirectement complice de non représentation d’enfant, et agissait rapidement pour favoriser le parent le plus respectueux des décisions rendues pour les enfants, en attribuant la garde à ce parent.
C’est d’ailleurs ce que certains J A F ont déjà mis en application ces 6 derniers mois en inversant le droit de garde.
Dans le dossier d’un adhérent, est-il normal qu’un père ne puisse pas voir ses enfants après plus de 30 audiences de toutes sortes (JAF, JE, Pénal) qui lui accordent ce droit ? C’est pourtant le cas de Gérard CRUZILLE http://www.stopviolence.fr/page95.php ...
Depuis 3 ans rien ne se passe, la justice n’a pas fait appliquer les décisions au bon moment, et maintenant on nous dit que les enfants sont dans un état psychologique extrême et que l’on ne peut pas forcer les enfants à aller chez leur père… Avec un peu de chance, les juges n’auront plus à statuer sur ce cas dès lors qu’avec le temps les enfants seront majeurs…
Certes, il ya aura la Cour Européenne pour condamner la France une fois encore, mais la relation père / enfants est détruite par la négligence ou l’incapacité de la justice à prendre des décisions efficaces envers la mère « délinquante » et dans ce cas précis, aliénante.
D’autres parents sont dans la même situation après des années de procédure qui font le bonheur d’un système devenu très lucratif et en plein essor avec les lieux de rencontres médiatisés… dont certains n’ont que le nom « qui soit médiatisé ».
Les Lois sont faites pour être respectées. Dans une large majorité les juges prennent de bonnes décisions, mais l’application est hélas très loin de la réalité.
Nous avions fait au mois de décembre une proposition pour l’application stricte des Lois qui existent déjà et plus précisément CONCERNANT LA GARDE DES ENFANTS :
> Lors d’une séparation parentale conflictuelle, et en cas de désaccord sur le mode de garde des enfants, mise en place immédiate d’une médiation familiale.
> Prendre tout de suite toutes les mesures pour protéger l’enfant contre toute manipulation d’un parent.
> Attribution de la garde au parent le plus conciliant avec une résidence alternée ou un droit de visite élargi par défaut pour l’autre parent.
> Adopter le modèle de Cochem, mis en place par le Juge Rudolph, à savoir : le caractère urgent est attribué aux affaires d’enfants litigieuses, la médiation a lieu dans les deux semaines… avant que ne commence l’aliénation des enfants… même après une séparation, les enfants doivent maintenir un minimum de vie de famille…etc.
> Application stricte et rapide de sanctions dès la première non représentation d’enfant, y compris par inversion de la garde.
> Condamnation des stratégies dilatoires par sanction de leurs initiateurs et / ou incitateurs.
> Pénalisation des éloignements géographiques volontaires, des allégations mensongères et mise en place immédiate d’une solution pour un réel droit de visite.
> Inscrire et définir l’Aliénation Parentale dans le Code Civil.
> Faire en sorte que les liens établis avec la famille et les grands parents persistent, avant d’en arriver aux procédures
> Mettre en place immédiatement s’il y a un conflit parental, d’une prise en charge et de restitution des enfants à chaque visite.
> Sanctionner le parent qui ne respecte pas les horaires de retour deux fois de suite par la privation d’un WE de droit de visite.
Il n’y a besoin d’aucune nouvelle Loi comme le demandent certains pour faire appliquer ces différents points qui existent dans les textes ou en jurisprudences.
IL FAUT OBTENIR UNE FERME VOLONTE DU POUVOIR DE FAIRE APPLIQUER LES TEXTES ET L'EXECUTION DES JUGEMENTS RENDUS.
Vous êtes concerné par un problème identique, nous attendons votre réaction par mail sur stopviolence@wanadoo.fr
m à j le 17 mars 2009
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