| Après l'INCESTE, les lieux de "TORTURE" pour ENFANTS VICTIMES... |  |
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LES LIEUX DE RENCONTRES MEDIATISES SONT-ILS ADAPTES POUR QUE L'ENFANT VICTIME D'INCESTE Y RENCONTRE S0N "BOURREAU" ?
Est-il normal de contraindre un ou une Enfant ou Ado à rencontrer son père incestueux ? Et ce, même en lieu médiatisé…
C’est pourtant ce qui se passe, et nous avons assisté à une telle scène à Lyon… Qu’un enfant soit contraint par des services « dits sociaux » de retrouver celui qui a anéanti sa vie, nous paraît insupportable.
Voila un enfant qui doit revivre son calvaire à chaque entretien avec son bourreau, en prenant le prétexte qu’il faut que les liens perdurent entre le père et l’enfant… Chaque organisme est libre d’accepter ou non cette tâche, chaque membre du personnel aussi.
Il faut simplement avoir un peu de courage et dire « Je sais », « je dois vaincre le silence », savoir et avoir le courage de dire non, cet enfant ne doit pas être confronté régulièrement à celui-ci…
Ne pas condamner l’enfant à subir, mais au contraire l’aider à se reconstruire sans la présence immédiate d’un tel individu.
Le jour ou la jeune victime acceptera elle-même cette démarche et cette rencontre, alors effectivement il faudra l’aider en ce sens, mais seulement à sa demande, pas sous la contrainte.
Nous pensons aussi à sa mère qui ne peut refuser de s’exécuter, sans risque d’être elle-même condamnée pour non représentation d’enfant, alors que son enfant l’implorait de ne pas la laisser y aller.
Cette façon d’agir met la mère en position délicate vis-à-vis de son enfant qui lui demande une protection qu’elle ne peut pas lui donner suite à une décision de justice suivie d’exécution.
Le pire est dans ce cas, qu'il est impossible à ces mêmes services sociaux, de rétablir le moindre lien entre un père non incestueux, et non violent, un bon père tout simplement avec des enfants victimes d’aliénation parentale par leur mère, ce qui est largement démontré par des analyses psychologiques et psychiatriques, laquelle à d’ailleurs été condamnée à plusieurs reprises à des peines de prison. Voir pour ce sujet « Planete Justice » : c’est aussi mon enfant…
Depuis que nous suivons avec d’autres associations des dossiers de viols ou d’inceste sur des enfants, nous sommes très étonnés de voir des classements sans suite de plus en plus nombreux, et il faut alors « se battre » pour faire rouvrir ces dossiers.
Pourquoi d’ailleurs, ces crimes ou délits sexuels sont-ils moins punis que des vols de bijouterie sans violence, pourquoi des jeunes pris avec du H dans les chaussettes sont incarcérés alors qu’un violeur d’une jeune fille de 18 ans est toujours en liberté deux ans après sa condamnation…
Pourquoi les pédophiles ont-ils le droit de poursuivre des activités avec des enfants…
Autant de question sans réponse, mais il faudra bien creuser pour trouver pourquoi il est impossible de « vaincre le silence » dans ces cas précis.
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